As Sara Ahmed has put it: “if I was thinking about emotions, I would probably assume that I need to look inwards, asking myself, ‘How do I feel?’ Such a model of emotion as interiority is crucial to psychology In a psychological model, I have feelings, and they are mine” ( Cultural Politics 8).Ģ The rise of affect theory in recent literary and cultural studies can be seen as an attempt to circumvent these prevailing presumptions of interiority and ownership. We think of emotions as residing inside our soul, our consciousness, our subconsciousness, our psyche or in some other interior container that is more or less co-extensive with, but not identical to, our body. The presumption of subjective ownership of emotions is thus often intertwined with a presumption of the interiority of emotions. ![]() My feelings are mine, I might say, and they belong to me, because they occur in me. ![]() In this way our language encourages us to think of emotions as phenomena that belong to subjects-to grammatical subjects as well as to human subjects. Haut de pageġ We tend to think about emotions in accordance with the basic grammatical structure of our language: when we say that the person X feels Y, we implicitly define emotions as predicates belonging to subjects. En outre, il s’agira d’avancer que la nouvelle de Poe révèle la raison pour laquelle ses contemporains furent incapables de comprendre la nature de leurs conditions atmosphériques. S’appuyant sur un certain nombre d’analyses approfondies de Poe, cet essai propose en conséquence de nouveaux concepts tels que l’émission affective, l’écosystème affectif et la possession affective. Par conséquent, les travaux récents sur l’affect et l’atmosphère dans les études littéraires et culturelles sont extraordinairement productifs pour une analyse de la nouvelle de Poe : d’une part, ils peuvent nous aider à comprendre les nombreuses descriptions des atmosphères affectives, et d’autre part, le texte peut nous aider à traiter des théories existantes et développer de nouveaux concepts afin de contribuer à la théorisation en cours sur l’affect et l’atmosphère. La Maison Usher est non seulement explicitement voilée d’une atmosphère qui lui est propre l’intrigue tout entière est centrée sur la manière dont cette atmosphère affecte les personnages de l’histoire et la manière dont ils interprètent son influence. De telles atmosphères affectives sont omniprésentes dans la nouvelle « La Chute de la Maison Usher » d’Edgar Allan Poe (1839). Les intensités émotionnelles ne relèvent pas uniquement de la « vie intérieure » des individus elles peuvent également se trouver, d’après le dicton, « dans l’air », c’est-à-dire en tant qu’atmosphères partagées qui nous enveloppent, nous pénètrent et nous affectent.
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